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MARS
MARS
Landwirtschaft und Klimawandel (D)
Séminaire
Ouvert au grand public
10.03.2017 10:15 - 12:00
Présentiel
Face aux émissions de GES issues de l’agriculture, une ré-interrogation des modes de production mais aussi des circuits de distribution et des régimes alimentaires ?
Quand?
10.03.2017 10:15 - 12:00
Où?
Organisation
Intervenants
Georg Klingler Heiligtag, Klimaexperte Greenpeace Schweiz – Klima Allianz
CYCLE d'événements:
Les enjeux du développement durable
Le constat scientifique est aujourd’hui sans ambiguïté : notre planète se réchauffe à cause des activités humaines. Les scientifiques ont établi que pour rester sous un réchauffement moyen de 2°C, le monde devra réduire de 40 à 70% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050 et arriver à la «neutralité carbone» à la fin du siècle.
Ce constat appelle des réponses politiques. Etapes de cette reconnaissance de l’urgence, l’Accord de Paris en 2015 et la COP22 de la Convention Cadre sur les Changements Climatiques de l’ONU en 2016 ont permis de collecter les engagements des pays pour 2025 ou 2030, dans le cadre des négociations climatiques. Cependant, comme le réchauffement pourra tout au plus être limité à 2°C, l'adaptation aux conséquences des changements climatiques revêt une importance croissante, y compris en Suisse.
Membre du Groupe de l’Intégrité Environnementale dans les négociations onusiennes, la Suisse fait figure de bon élève. L’objectif annoncé de réductions d’émissions est apparemment ambitieux: une réduction de 50% de ses émissions à l’horizon 2030 par rapport à 1990. Toutefois, pour atteindre ce but, la Confédération prévoit de recourir massivement au marché du carbone – à hauteur de 20%. En d’autres termes, les émissions nationales ne seront réduites que de 30% d’ici à 2030. Les 20% restants pourront provenir de projets à l’étranger.
La mise en œuvre de réduction drastique des émissions dans les différents secteurs comme l’énergie, l’alimentation, l’agriculture, la mobilité nécessite des transitions importantes des modes de production et de consommation plus économes mas aussi de réorienter les investissements.
Ce séminaire vise à vous aider à observer et comprendre les phénomènes et acteurs en jeu, favoriser l’adoption d’une posture critique et vous donner des clés d’entrée pour travailler dans l’économie bas carbone.
Autres événements dans le cycle
Ce constat appelle des réponses politiques. Etapes de cette reconnaissance de l’urgence, l’Accord de Paris en 2015 et la COP22 de la Convention Cadre sur les Changements Climatiques de l’ONU en 2016 ont permis de collecter les engagements des pays pour 2025 ou 2030, dans le cadre des négociations climatiques. Cependant, comme le réchauffement pourra tout au plus être limité à 2°C, l'adaptation aux conséquences des changements climatiques revêt une importance croissante, y compris en Suisse.
Membre du Groupe de l’Intégrité Environnementale dans les négociations onusiennes, la Suisse fait figure de bon élève. L’objectif annoncé de réductions d’émissions est apparemment ambitieux: une réduction de 50% de ses émissions à l’horizon 2030 par rapport à 1990. Toutefois, pour atteindre ce but, la Confédération prévoit de recourir massivement au marché du carbone – à hauteur de 20%. En d’autres termes, les émissions nationales ne seront réduites que de 30% d’ici à 2030. Les 20% restants pourront provenir de projets à l’étranger.
La mise en œuvre de réduction drastique des émissions dans les différents secteurs comme l’énergie, l’alimentation, l’agriculture, la mobilité nécessite des transitions importantes des modes de production et de consommation plus économes mas aussi de réorienter les investissements.
Ce séminaire vise à vous aider à observer et comprendre les phénomènes et acteurs en jeu, favoriser l’adoption d’une posture critique et vous donner des clés d’entrée pour travailler dans l’économie bas carbone.
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