Checker ses réseaux au réveil, envoyer des mails aux collègues, répondre aux sollicitations sur Teams, accepter les invitations sur son calendrier en ligne, réserver ses vacances sur une plateforme, suivre une recette, poster une photo de son apéro avec les copines ou son parcours de running… un dernier coup d’oeil à ses comptes avant d’éteindre la lumière. L’hyperconnectivité accentue-t-elle notre stress, notre anxiété ou les risque de dépression? Est-elle synonyme de déconnexion… sociale, de perte de repères, d’agressivité? Oui, mais… être connecté c’est aussi une manière de briser l’isolement, de renforcer un sentiment d’appartenance pour des personnes issues de communautés marginalisées, de développer de nouvelles formes de construction identitaire ou de disposer d’un accès libre à l’information. Alors: chance ou danger?

Ce Café vous est proposé dans le cadre de la Semaine Happy de l’Université de Fribourg.